SITUATION IMMOBILIERE EN 2013
Les valeurs immobilières en
Italie on atteint un niveau devenu très intéressant pour les acheteurs. Les
taxes fiscales ont touché en partie le marché immobilier en ce qui concerne les
investissements : la nouvelle taxe sur les achats/ventes, les subventions
fiscales sur la restructuration et la requalification énergétique des habitations
ont créé une réelle poussée de l’achat d’un bien principal.
Mais de nos jours, les nouveaux
acheteurs potentiels sont beaucoup plus informés. Ils savent que pour acheter,
ils doivent déjà posséder une partie du capital. En effet, les banques
deviennent de plus en plus exigeantes et attentives. Elles sont conscientes qu’il
y a beaucoup d’offres sur le marché, ce qui rassure les italiens qui peuvent
choisir leur bien avec tranquillité à des prix accessibles. En outre, ceux qui
vendent ont désormais compris, dans l’ensemble, que la valeur des charges
moyennes a augmenté, et que pour vendre dans le secteur immobilier doit
abaisser les prix. Si l’Italie ne s’adapte pas à cette logique ou qu’elle n’en
éprouve pas le besoin, les italiens reporteront leur vente ou se résigneront à
rester locataire.
DANS LES GRANDES VILLES
Dans les grandes villes, la
baisse des prix en 2013 a été de 4,2 % et atteint les 5 % dans les chefs-lieux
des provinces. Un résultat qui progresse positivement comparé à l’année
précédente, surtout dans les grandes villes où le moindre signal positif sont
perceptibles très rapidement et de manière très marquée.
Florence est l’une des grandes
villes dans laquelle le marché immobilier a le moins perdu (-2%), suivi de
Vérone (-2,8%), de Milan et de Palerme (avec environ -3,4%). L’arrière-pays des
villes importantes et des chefs-lieux de province souffrent majoritairement au
niveau des problématiques liées au monde du travail et des difficultés des
nouvelles constructions. Ce dernier aspect est fortement détecté dans les
ceintures métropolitaines des grandes villes où, dans les années précédentes,
beaucoup de construction ont vu le jour.
L’analyse par secteur géographique voit une
diminution des prix de 5,1 % au Sud de l’Italie et de 4,7 % dans le Centre. C’est
confirmé : les acheteurs potentiels manifestent de l’intérêt pour les
habitations anciennes. Le prix reste une variable décisive pour ceux qui osent
se lancer dans un premier achat et encore plus pour ceux qui ont l’habitude d’investir.
Les nouvelles constructions, bâties avec des critères d’efficacité énergétique, attirent surtout les acheteurs plus jeunes qui doivent pourtant
rendre des compte avec leur simple budget qu’ils ont à disposition.
On constate grâce à une analyse des offres, réalisée en Janvier 2014, une
majeure concentration des demandes pour les 3 pièces, en augmentation de 0,7 %
par rapport au moins de Juillet 2013. Cela confirme une tendance révélée sur
quelques semestres, c’est-à-dire que la diminution des prix repousse l’attention
sur des logements plus grands, mais plus confortables pour ceux qui achètent
pour la première fois. Mais la conséquence est la diminution de la
concentration sur les 2 pièces, dûe également à la contraction des
investissements. A Milan, Rome et Naples, ce sont les deux pièces qui
rassemblent la majeure partie des richesses dans le secteur immobilier de ces
villes. La valeur de
ces biens est estimée entre 169 000 et 249 000 euros. L’analyse des
offres subit une majeure concentration sur les 3 pièces (33,3 %), juste devant
les 4 pièces (24,1%).
Il faut savoir que 77,6 % des achats
concernent le logement principal, (dont 16,6 % finalisés lors de l’investissement)
et 5,8 % pour des maisons secondaires. La majeure partie des acheteurs en Italie
est comprise entre 35 et 44 ans. Et la moyenne d’âge concernant ceux qui achète
un logement principal est en train d’augmenter, allant de 45 à 54 ans. Les délais de vente sont désormais
stabilisées depuis quelques semestres. L’analyse indique un calendrier de 181
jours dans les grandes villes, 200 jours dans les arrières-pays et 202 jours
dans les chefs-lieux de province.
LOCATIONS
Sur le marché des locations sur le marché
immobilier de 2013, on note dans les grandes villes une baisse impressionnante de
1,9 % pour les 2 pièces et de 1,7 % pour les 3 pièces. 54 % des personnes qui
louent recherche une habitation principale, alors que 37 % louent pour des
raisons professionnelles et 7 % sont attribués aux étudiants. Le rendement annuel brut
d’un 2 pièces est égal à 4,2 %.
2014 pourrait être une année différente de l’année précédente, surtout si il y a de véritables changements au niveau des emprunts immobiliers, de l’emploi et de la situation économique, éléments qui ont plus que tout marqués ces années sur une tendance du marché
Pour 2014, nous prévoyons dans les grandes villes une contraction des valeurs comprises entre -4 % et -2 %. Mais dans l’arrière-pays, la situation est beaucoup plus complexe car la difficulté d’accès aux crédits se ressent majoritairement. De plus, les nouvelles constructions ont du mal à se vendre. Ils pourraient donc envisager une baisse des prix pour ce dernier problème cité. Par conséquent, concernant les réalités territoriales, on s’attend à une diminutions de la valeur des prix comprise entre 3 et 5 %. Mais nous pouvons nous rassurer en pensant à la qualité des habitations qui sera sûrement récompensée l’année prochaine (moins de consommations d’énergies par exemple). Toutefois, des opportunités d’achat se créent dans ce contexte immobilier : la baisse des prix des dernières années pourra profiter à ceux qui ont un certain capital ou qui peuvent obtenir un crédit à un prix raisonnable, ce qui est difficilement imaginable quand on repense aux années d’autrefois.
2013, L'ANNEE DE LA RECESSION IMMOBILIERE
en construction...
2014 pourrait être une année différente de l’année précédente, surtout si il y a de véritables changements au niveau des emprunts immobiliers, de l’emploi et de la situation économique, éléments qui ont plus que tout marqués ces années sur une tendance du marché
PREVISIONS 2014
Pour 2014, nous prévoyons dans les grandes villes une contraction des valeurs comprises entre -4 % et -2 %. Mais dans l’arrière-pays, la situation est beaucoup plus complexe car la difficulté d’accès aux crédits se ressent majoritairement. De plus, les nouvelles constructions ont du mal à se vendre. Ils pourraient donc envisager une baisse des prix pour ce dernier problème cité. Par conséquent, concernant les réalités territoriales, on s’attend à une diminutions de la valeur des prix comprise entre 3 et 5 %. Mais nous pouvons nous rassurer en pensant à la qualité des habitations qui sera sûrement récompensée l’année prochaine (moins de consommations d’énergies par exemple). Toutefois, des opportunités d’achat se créent dans ce contexte immobilier : la baisse des prix des dernières années pourra profiter à ceux qui ont un certain capital ou qui peuvent obtenir un crédit à un prix raisonnable, ce qui est difficilement imaginable quand on repense aux années d’autrefois.
2013, L'ANNEE DE LA RECESSION IMMOBILIERE
en construction...
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